mardi 4 mai 2010

lundi 3 mai 2010

Documents historique

  • Les quatre premières minutes de Kiss me deadly. Dès l'ouverture du film le spectateur est plongé dans une sombre intrigue. Une femme court en regardant derrière elle, elle fuit donc quelqu'un ou quelque chose. On assiste à la rencontre du couple central. Le côté noir du film resort dans le fait que l'homme accepte d'aider cette femme en l'a faisant passer pour son épouse, alors qu'il sait qu'elle est échappée d'un hôpital psychiatrique.

  • Deux mois pour le film noir, a été publié Le Devoir, la 4juillet 1981. Richard Gay se questionne, suite à une rétrospective du film noir au Conservatoire d'art dramatique. Il souligne le fait que le film noir touche toutes les nationalités, et pas seulement américaine.

Identité numérique

L’identité numérique d’un individu est composée de données formelles et informelles. Toutes ces informations composent une identité numérique qui caractérise un individu, sa personnalité, son entourage et ses habitudes. Avec la multiplication des réseaux sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours plus importante dans notre consommation quotidienne de l’internet. Tous ces contenus laissent des traces sur les sites et dans les index des moteurs de recherche et sont systématiquement rattachés à un auteur. Les différentes facettes de l'identité numérique sont très nombreuse à travers nos publications (youtube, facebook), nos réputation (ebay, amazone), nos audience (myspace, bloger), nos avatars (warcraft, second life), et la liste est encore longue.

Un exemple de mes identités numérique est celle que j'entratient sur le site allociné.fr en laissant mes notes et commentaires sur les films que je vois. selon mes goûts, le site me propose directement les film qui pouraient m'intérésser, cela proouve bien que j'ai une "identité" le site me conseil comme le ferai un ami.

lien de mon compte d'allociné

Synthèse critique

Le choix d'un sujet assez large et connu, comme le film noir américain, ouvre la porte a une multitude d'informations. J'ai donc passé plus de temps à sélectionner des informations qui me paraissaient pertinente que de temps à chercher les documents. Les références d'articles ne manque pas (trouvé dans des bibliographies par exemple) cependant, une très grande partie des magasines spécialisé du cinéma (Positif, Cahiers du cinéma, Eclipse) ne mettent pas leurs articles à disposition sur le net. (le site des Cahiers du cinéma est payant), ce qui m'a beaucoup ralenti dans mes recherches.
Les ouvrages sur le sujets sont très bien répertorié au près des bibliothèque universitaire, cela montre l'intérêt porté à ce genre de cinéma ainsi qu'à son importance.

dimanche 18 avril 2010

Citation de livres

1) BORDE, Raymond, Panorama du film noir américain, Champs Contre-Champs, Flammarion, 1993, 283p.

book.google.fr---lien pages 58-59 :

"Le film noir serait ainsi une espèce de border line [...] ce qu'on avait originellement l'intention de faire de beaucoup d'entre eux"

Résumé : Le film noir serait un cas limite qui irait contre ses principes, et manipulerai des valeurs fondamentales. Il y aurai donc une sorte de dualité entre deux forces. Mitchell S. Cohen le montre en prenant l'exemple du jeu de l'acteur.


2) BEYLOT, Pierre, Emprunts et citations dans le champ artistique, Champ visuel, Paris, 2004, 202p.

book.google.fr--- lien pages 117 et 118 (chapitre "repli américain")

"Dans A bout de souffle [...] des scènes de films noirs, ect.."

Résumé : l'auteur évoque les références des cinéastes de la nouvelle vague fait au film noir en prenant comme exemple le premier film de Jean-Luc Godard, A bout de souffle (1959)
Mots clé: nouvelle vague, Godard

3)DUMONT, Hervé, Robert Siodmark : le maître du film noir, L'Age d'Homme, 1981, 380p.

book.google.fr--- lien page 162

"Phantom Lady na passe pas inaperçu. [...] compte tenu de ses précédents familiaux"

Résume : Hervé Dumont voit Phantom Lady comme le premier film du genre noir, par son esthétisme qui rappel celui des travaux de Siodmark en Allemagne ainsi que l'apparaition du type de femme insaisissable.
Mots clé : Freddy Buache,

samedi 17 avril 2010

Ouvrages de référence

-BORDE, Raymond, Panorama du film noir américain, Champs Contre-Champs, Flammarion, 1993, 283p.

disponible à : Paris 7- Bibliothèque centrale. Autre localisation


-BRION, Patrick, Le film noir : L'âge d'or du film criminel américain, d'Alfred Hitchcock à Nicholas Ray, Edition de la Marnière, 2004, 451p.

disponible à : Caen- BU Sc. de l'Homme . Autre localisation


-CATTRYSSE, Patrick, Pour une théorie de l'adaptation filmique: le film noir américain, Berne, Parie, 1992, 268p.

disponible à : Lyon 3-Bibliothèque. Autre localisation

-GUERIF, François, Le film noir américain, Denoël, 1999, 411p.

disponible à : Paris-Bibl Saint Geneviève. Autre localisation


-LESUISSE, Anne-Françoise,Du film noir au noir: traces figurales dans le cinéma classique Hollywoodien, De Boeck Université, Arts et cinéma, 2001, 229p.

disponible à : Caen BU-Droit Lettre. Autre localisation


-MIRABEL, Vincent, L'Histoire du cinéma pour les nuls, Lion Générales First, 2008, 510p.

disponible à : Rennes 2-BU Centrale. Autre localisation


-MULLER, Eddie, Dark city, le monde perdu du film noir, Clairac, CinéFils, 2007, 320p.

disponible à : Paris 7- Bibliothèque centrale. Autre localisation


-SILVER, Alain, Encyclopédie du film noir, Rivages Littérature, 1987, 458p.

disponible à : Lille 3 -BU. Autre localisation


-SIMSOLO, Noël, Le film noir: Vrais et Faux cauchemars, Cahier du cinéma, Essais, 2005, 445p.

disponible à : Caen-BU Droit-Lettre. Autre localisation


-TAVERNIER, Bertrand, 50 ans de cinéma américain, Nathan, Paris, 1995, 1268p.

disponible à : Paris 3-BU. Autre localisation


Articles

  • L'or noir, un article D'Antoine de Baecque de Libération le 21 janvier 2006. Il livre une critique du livre de Noël Simsolo : Le Film noir, Vrais et faux cauchemars. Il revient sur la naissance de l'expression "film noir", ainsi que sur la difficulté de définir exactement ce genre. Il énonce le film noir en France sous le signe d'une certaine Nouvelle Vague...
mots clé : Antoine de Baecque, Noël Simsolo, Nouvelle Vague

voir l'article sur www.liberation.fr

  • Peindre le mal est un article de Luc Duvinage publié dans la revue Eclipse. Il nous explique dans quel contexte est né le film d'Orson Wells, Le Criminel. Il apparait après l'échec commercial de Citizen Kane, mais aussi quelque temps après la découverte des camps nazi. Le mal a donc une toute autre image pour les américains. Le film parle de véritable nature de l'homme.

  • Le code Hays : auto-censure du cinéma américain, les 15 premier articles du code Hays. Pas de scène de passion, de nu, pas d'arme ni de drogue... même le titre du film est soumit à le censure. l'article est tiré du magazine Suite101 et rédigé par Daniel Lesueur, en juillet 2009.
mots clé : censure au cinéma,


  • coffret film noir, a était publié en janvier 2005 dans la revue Les inrockuptibles. il s'agit de la critique de sept films du genre dit noir dans un coffret dvd. David Père souligne la pertinence dont l'éditeur à fait preuve en sélectionnant ces films, tous de la Twentieth century fox, au fort réalisme en opposition au style glamour et sophistiqué de la MGM.


  • Otto Preminger: autopsie d'un maître, un article d'Olivier Père paru dans Les inrockuptibles en octobre 2000. L'article met en avant que le réalisateur a du est son propre producteur pour déjouer les barrages de la censure, et inaugure une période de liberté dans ce nouveau cinéma hollywoodien.
mots clé : les Aritstes Associés (les deux dernier paragraphes) , le montage interdit (par A. Bazin), Sainte Jeanne


  • Boulevard du crépuscule, critique du film en mai 2009 par Guillemette Odicino dans Télérama. Accompagné d'un résumé du film, cette brève critique vient souligner à quel point "Sunset Boulevard reste le plus grand film jamais réalisé sur Hollywood".