mardi 4 mai 2010
lundi 3 mai 2010
Documents historique
- Les quatre premières minutes de Kiss me deadly. Dès l'ouverture du film le spectateur est plongé dans une sombre intrigue. Une femme court en regardant derrière elle, elle fuit donc quelqu'un ou quelque chose. On assiste à la rencontre du couple central. Le côté noir du film resort dans le fait que l'homme accepte d'aider cette femme en l'a faisant passer pour son épouse, alors qu'il sait qu'elle est échappée d'un hôpital psychiatrique.
- Deux mois pour le film noir, a été publié Le Devoir, la 4juillet 1981. Richard Gay se questionne, suite à une rétrospective du film noir au Conservatoire d'art dramatique. Il souligne le fait que le film noir touche toutes les nationalités, et pas seulement américaine.
Identité numérique
Un exemple de mes identités numérique est celle que j'entratient sur le site allociné.fr en laissant mes notes et commentaires sur les films que je vois. selon mes goûts, le site me propose directement les film qui pouraient m'intérésser, cela proouve bien que j'ai une "identité" le site me conseil comme le ferai un ami.
lien de mon compte d'allociné
Synthèse critique
dimanche 18 avril 2010
Citation de livres
samedi 17 avril 2010
Ouvrages de référence
-BRION, Patrick, Le film noir : L'âge d'or du film criminel américain, d'Alfred Hitchcock à Nicholas Ray, Edition de la Marnière, 2004, 451p.
-GUERIF, François, Le film noir américain, Denoël, 1999, 411p.
Articles
- L'or noir, un article D'Antoine de Baecque de Libération le 21 janvier 2006. Il livre une critique du livre de Noël Simsolo : Le Film noir, Vrais et faux cauchemars. Il revient sur la naissance de l'expression "film noir", ainsi que sur la difficulté de définir exactement ce genre. Il énonce le film noir en France sous le signe d'une certaine Nouvelle Vague...
voir l'article sur www.liberation.fr
- Peindre le mal est un article de Luc Duvinage publié dans la revue Eclipse. Il nous explique dans quel contexte est né le film d'Orson Wells, Le Criminel. Il apparait après l'échec commercial de Citizen Kane, mais aussi quelque temps après la découverte des camps nazi. Le mal a donc une toute autre image pour les américains. Le film parle de véritable nature de l'homme.
- Le code Hays : auto-censure du cinéma américain, les 15 premier articles du code Hays. Pas de scène de passion, de nu, pas d'arme ni de drogue... même le titre du film est soumit à le censure. l'article est tiré du magazine Suite101 et rédigé par Daniel Lesueur, en juillet 2009.
- coffret film noir, a était publié en janvier 2005 dans la revue Les inrockuptibles. il s'agit de la critique de sept films du genre dit noir dans un coffret dvd. David Père souligne la pertinence dont l'éditeur à fait preuve en sélectionnant ces films, tous de la Twentieth century fox, au fort réalisme en opposition au style glamour et sophistiqué de la MGM.
- Otto Preminger: autopsie d'un maître, un article d'Olivier Père paru dans Les inrockuptibles en octobre 2000. L'article met en avant que le réalisateur a du est son propre producteur pour déjouer les barrages de la censure, et inaugure une période de liberté dans ce nouveau cinéma hollywoodien.
- Boulevard du crépuscule, critique du film en mai 2009 par Guillemette Odicino dans Télérama. Accompagné d'un résumé du film, cette brève critique vient souligner à quel point "Sunset Boulevard reste le plus grand film jamais réalisé sur Hollywood".
Rubrique divers
Comparaison entre le film noir américain et le néoréalisme italien (1943-1955)
et
Le facteur sonne toujours deux fois de Tay Garnett,1946 avec Lana Turner, John Garfield
On retrouve la même entrée de la femme dans le film, toutes les deux par une première image sur ses jambes.
Bande annonce de The big sleep. La répétition des noms des acteurs montre bien que le couple prime sur le sujet du film, les spectateurs vont en premier voir le film qui réuni "de nouveau" le couple mythique. Dans cette présentation du film on y retrouve la femme fatale, le policier etde l'action (les bruits de coups de feu)
La Cinémathèque propose des analyses d'affiches françaises du film noir américain.
Le site de la cinémathèque
Dossier iconographique
Assurance sur la mort, de Billy Wilder de 1944, avec Barbara Stanwyck et Fred McMurray. Représentation de la femme fatale. Elle apparait en général après le présentation du personnage personnel qui va en tomber amoureux. Elle est irrésistible mais cache bien son jeu, elle est très manipulatrice et arrive toujours à ses fins.
source photo
Gilda de Charles Vidor, 1946 avec Rita Hayworth, Femme fatale emblématique du film noir, Gilda fait chavirer le cœur des hommes. Mais si Gilda épouse Johnny (Glenn Ford), c'est tout son mythe qui s'effondre pour finir femme au foyer.
source photo
Le Grand sommeil (The big sleep) réalisé par Howard Hawks
Le couple phare du genre,Lauren Bacall et Humphrey Bogard, ils sont unient à l'écran comme à la ville.
Dans ce film on remarque que la femme est toujours l'"objet" regardé par l'homme qui lui est au coeur de l'action. Ici, le détective est attaché, et elle l'aide pas.
La théorie de la femme objet dans cette époque est largement développé par Laura Mulvey
source photo
Le Faucon maltais, 1946, de John Huston, avec HumphreyBogard et Mary Astor.
Avec son chapeau et son long manteau, le personnage du détective est rapidement identifiable par les spectateurs.
L'on remarque la sobriété esthétique du genre, des murs nus avec un escalier en bois. Les ombres installent une atmosphère angoissante.
source photo
L'inconnu du Nord Express réalisé par Alfred Hitchcock, avec Farley Granger et Ruth Roman (1952)
L'esthétisme du film noir est grandement inspiré de l'expressionnisme allemand. Cela s'explique par la montée du nazisme en Europe, en effet, les réalisateurs et chef opérateurs allemand qui fuyaient le nazisme on migrais au États Unis, comme Fritz Lang.
La disposition des lumières de grandes ombres sur les visages, ce qui fait ressortir le côté terrifiant des personnages.
source photo
Le Troisième homme, 1949, un film de Carol Reed avec Joseph Cotten.
Une image typique du genre : un homme non-identifiable, en chapeau, dans une rue étroite pavée. Il n'est pas rare de le voir sous un lampadaire ou sous la pluie. C'est sans rappeler les films allemand des années 20.
source photo
Un des moment clé du film noir, est la préparation du coup (photo). Comme ici dans le film Quand la ville dort de John Huston (1950). A part la réunion de gangsters, on y retrouve aussi le décor de la cave, le repaire, un lieu sombre à l'abri des regards. Le cigare et la bouteille d'alcool sont aussi des éléments indispensable pour décrire la virilité des hommes.
L'Ultime Razzia (The Killing), de Stanley Kubrick avec Sterling Hayden, 1957.
Le hold-up représente bien plus qu'un simple crime, c'est un acte de violence envers l'état. Tout les objets du film noir sont rassemblé dans cette photo : le chapeau, l'arme, l'argent ainsi qu'une esthétique de clair obscur, avec une grande ombre sur le visage de l'homme au second plan.
source photo
Vertigo (Sueures froides) d'Alfred Hitchcock (1958) avec James Stewart et Kim Novak.
Pour s'attacher davantage au personnage principal, un "point faible" lui est attribué. Ici Scotti a le vertige se qui le handicape pour sauver la femme qu'il aime. Cette attribution rend le personnage plus humain, c'est le processus d'identification, il est plus facile pour le spectateur de croire en homme qui a des points faibles.
source photo
L'héritage du film noir, Basic Instinct, de Paul Verhoeve (1992) avec Sharon Stone et Michael Douglas.
vendredi 16 avril 2010
Sites Internet
http://cinemanageria.ifrance.com
Ce site résume les origines du film noir et classe les réalisateurs par leurs styles de réalisation. Chaque nom de réalisateur et d’acteur sont en lien avec leurs filmographie et biographie, pratique et très rapide, cependant les informations reste assez superficiel
2) De façon beaucoup plus approfondi, ce site revient sur la naissance du genre. Il développe les caractéristique ainsi que les thèmes des films. Il répertorie un grand nombre de film, jusqu’aux années 2000, ce qui permet une bonne comparaison de l’évolution du genre.
www.filmsite.org
3) www.crimeculture.com , créé en 2002 par Lee Horsley et Kate Horsley
Site créé par des spécialistes du genre, il différencie les films criminel, de gangster, de détective, du film noir et du néo-noir, qui sont souvent confondu. Une rubrique consacrée à la femme fatale montre son importance dans le genre.
4) www.bfi.org.uk , nous montre l'influence du film noir US sur les nouveau réalisateur, ici Qunetin Taratino par exemple.
5)www.wapedia.mobi c'est 6 pages de 11 chapitres, pour retracer entièrement l’histoire du film noir. Chaque mot clé est un lien ainsi que chaque photo. Dès le chapitre 5 le site est consacré à l’héritage du genre des années 60 à 2000. Un chapitre 7 bien complé sur la structure narrative, les intrigues et le caractères des personnages récurent.
Présentation
Bien que le genre soit typiquement américain, le film noir est né d’un critique de film français, Nino Frank . Si les Etats-Unis apprécient les livres de la Série noire, c’est qu’ils s’y retrouvent, tout comme dans les livres de détective de Dashiell Hammett et Raymond Chandler. En effet, dans les années 30, le pays connaît la prohibition, la corruption, et la violence, ces thèmes seront principalement repris sur grand écran. Cependant les films ne peuvent pas tout révéler du monde réel. En 1934 est mis en place le Code Hays qui censure considérablement les sujets abordés :
« Aucun film ne sera produit qui porterait atteinte aux valeurs morales des spectateurs. La sympathie du spectateur ne doit jamais être jetée du côté du crime, des méfaits, du mal ou du péché. Seuls des standards corrects de vie soumis aux exigences du drame et du divertissement seront présentés. La loi, naturelle ou humaine, ne sera pas ridiculisée et aucune sympathie ne sera accordée à ceux qui la violent. »