Assurance sur la mort, de Billy Wilder de 1944, avec Barbara Stanwyck et Fred McMurray. Représentation de la femme fatale. Elle apparait en général après le présentation du personnage personnel qui va en tomber amoureux. Elle est irrésistible mais cache bien son jeu, elle est très manipulatrice et arrive toujours à ses fins.
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Gilda de Charles Vidor, 1946 avec Rita Hayworth, Femme fatale emblématique du film noir, Gilda fait chavirer le cœur des hommes. Mais si Gilda épouse Johnny (Glenn Ford), c'est tout son mythe qui s'effondre pour finir femme au foyer.
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Le Grand sommeil (The big sleep) réalisé par Howard Hawks
Le couple phare du genre,Lauren Bacall et Humphrey Bogard, ils sont unient à l'écran comme à la ville.
Dans ce film on remarque que la femme est toujours l'"objet" regardé par l'homme qui lui est au coeur de l'action. Ici, le détective est attaché, et elle l'aide pas.
La théorie de la femme objet dans cette époque est largement développé par Laura Mulvey
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Le Faucon maltais, 1946, de John Huston, avec HumphreyBogard et Mary Astor.
Avec son chapeau et son long manteau, le personnage du détective est rapidement identifiable par les spectateurs.
L'on remarque la sobriété esthétique du genre, des murs nus avec un escalier en bois. Les ombres installent une atmosphère angoissante.
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L'inconnu du Nord Express réalisé par Alfred Hitchcock, avec Farley Granger et Ruth Roman (1952)
L'esthétisme du film noir est grandement inspiré de l'expressionnisme allemand. Cela s'explique par la montée du nazisme en Europe, en effet, les réalisateurs et chef opérateurs allemand qui fuyaient le nazisme on migrais au États Unis, comme Fritz Lang.
La disposition des lumières de grandes ombres sur les visages, ce qui fait ressortir le côté terrifiant des personnages.
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Le Troisième homme, 1949, un film de Carol Reed avec Joseph Cotten.
Une image typique du genre : un homme non-identifiable, en chapeau, dans une rue étroite pavée. Il n'est pas rare de le voir sous un lampadaire ou sous la pluie. C'est sans rappeler les films allemand des années 20.
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Un des moment clé du film noir, est la préparation du coup (photo). Comme ici dans le film Quand la ville dort de John Huston (1950). A part la réunion de gangsters, on y retrouve aussi le décor de la cave, le repaire, un lieu sombre à l'abri des regards. Le cigare et la bouteille d'alcool sont aussi des éléments indispensable pour décrire la virilité des hommes.
L'Ultime Razzia (The Killing), de Stanley Kubrick avec Sterling Hayden, 1957.
Le hold-up représente bien plus qu'un simple crime, c'est un acte de violence envers l'état. Tout les objets du film noir sont rassemblé dans cette photo : le chapeau, l'arme, l'argent ainsi qu'une esthétique de clair obscur, avec une grande ombre sur le visage de l'homme au second plan.
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Vertigo (Sueures froides) d'Alfred Hitchcock (1958) avec James Stewart et Kim Novak.
Pour s'attacher davantage au personnage principal, un "point faible" lui est attribué. Ici Scotti a le vertige se qui le handicape pour sauver la femme qu'il aime. Cette attribution rend le personnage plus humain, c'est le processus d'identification, il est plus facile pour le spectateur de croire en homme qui a des points faibles.
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L'héritage du film noir, Basic Instinct, de Paul Verhoeve (1992) avec Sharon Stone et Michael Douglas.
Malgré les années qui ont passées, on retrouve dans les années 90, le thème du flic, marié, qui tombe sous le charme d'une femme peut fréquentable. Tous les élément sont la, la scène interrogatoire, la cigarette ainsi que les jambes nues de l'actrice.
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